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Posts de blog (387)

  • BILL RYDER-JONES, une merveille Chamber Pop.

    Il faut parfois du temps à un artiste pour produire un chef d' oeuvre. Cela fait 28 ans que Billy Ryder-Jones traîne sa bosse dans le milieu Indie britannique. Avec son 5 ème album "Iechyd Da" il nous offre la merveille absolue que l'on attendait pas vraiment de lui en solo et plus du tout de son ancien groupe The Coral. La carrière de Bill Ryder-Jones a débuté quand à 13 ans il incorpore le groupe de ses potes d' école qui allait devenir The Coral. La formation de Liverpool sera très vite appelée à devenir le fer de lance du revival des guitares en Grande Bretagne aux côté des Libertines à la suite des ricains The Strokes et White Stripes. The Coral se démarquèrent très vite de leur tumultueux compatriotes londoniens en délaissant le Garage Rock pour aller vers plus de psychédélisme et une production plus pop avec le très lourd héritage liverpoolien musicale à porter. Assez vite Ryder-Jones rencontra de très sérieux problèmes psychiques au cours des tournées ce qui l' amènera à quitter le groupe une première fois avant de revenir en studio pour le chef d' oeuvre "Roots & Echoes" auquel il donne une patine Baroc Pop en composant certains arrangements de cordes. Il se sépare du groupe définitivement en 2008 toujours à cause de ses difficultés à entrer sur scène mais également parce que les velléités commerciales du groupe devenaient trop forte à ses yeux. Débarrassé des tournées épuisantes et des emmerdes promotionnelles Ryder-Jones se remet rapidement à la musique en signant plusieurs B.O. pour finalement passer aux albums studios classiques et ainsi s' affirmer. Un premier, "If", confirme ses accointances pour les cordes et les univers des compositeurs de musique de film. Se dévoilent également les influences de Nick Cave, Syd Barrett et les trop vite oubliés gallois de Gorky's Zygotic Mynci. Un deuxième, "A Bad Wind Blows In My Heart", le voit s'orienter vers le Folk d' un Bill Callahan (Smog) pour ensuite avec le suivant revenir un peu plus près du Rock de ses débuts sous l' influence des Strokes mais aussi celles d' autres gallois Super Furry Animals. Et ce avec un léger accent Slacker Rock à la Pavement. C 'est avec le quatrième album que Ryder-Jones commença à vraiment me titiller les oreilles. Faut dire qu' avec "Yawn" il touchait certaines de mes cordes sensibles quand des sonorités Shoegaze accompagnait un chant évoquant le légendaire Michael Head (The Pale Fountains, Shack) et flirtant parfois avec l'univers des Cure. En parallèle de sa carrière solo on verra Ryder-Jones se mettre à la production pour plusieurs groupes dont son idole Michael Head et participer à l' aventure Chamber Pop The Last Shadow Puppets tout en accompagnant sur scène les Arctic Monckeys en tournée. Bref vous l' aurez compris Ryder-Jones sans réellement être sous les feux des projecteurs a construit une de ces solides carrières underground susceptibles à tout instant de se propulser aux sommets par ténacité et intégrité. Avec "Iechyd Da" c' est exactement ce qu' il vient de se passer. Immense succès critique et commercial tellement mérité. Mettons très vite l' aspect comptable de côté parce qu' il y a tant à dire sur ce nouveau joyaux Chamber Pop de la couronne. Denrée en provenance de Grande Bretagne devenue bien rare. "Iechyd Da" est un solide bon en avant créatif pour un artiste qui faisait jusqu' à présent dans le bel ouvrage artisanal sans grandes prétentions. Ryder-Jones affiche dorénavant une sacré ambition et réussit là où beaucoup se sont plantés. On peut même avancer qu' il dépasse largement le projet The Last Shadow Puppets des stars Alex Turner et Miles Kane auquel il avait participé. Ce disque offre une forme de dualité assez surprenante mais réussie. Profondément émouvant tant son auteur se met à nu comme par exemple quand il nous parle du poids du confinement sur ses problèmes psychiques. C' est également le cas lorsque flotte sur certaines paroles le fantôme d'un frère mort trop tôt. Sa voix douce et blessée rajoute en trouble quand elle aborde des sujets souvent lourds. Une voix touchante qui évoquera pour les plus anciens une autre tout autant déchirante, celle du regretté Mark Linkous de Sparklehorse. L' emploi d' une esthétique acoustique par la guitare notamment amplifie encore plus le lien avec l' américain décédé en 2012. Face à autant de délicatesse et de fragilité Ryder-Jones opte en contrepoint pour des orchestrations de cordes et des cuivres majestueux apportant à l' ensemble une teinte très cinématographique et lyrique. Sa production se révèle parfaite et paradoxalement puissante. C' est mélancolique et à la fois exaltant. Épique et Humble. Douceur et grandiloquence ne donne pas toujours de bons mariages mais dans le cas de "Iechyd Da" cela ne sonne absolument pas faux. Ce type nous raconte ses petits et gros problèmes personnels mais on est jamais dans l' auto apitoiement avec des chansons délivrant une fantastique soif de vivre. Ses tristes petites histoires par un tour de magie deviennent universelles et une soif de vivre puissante s' empare de l' auditeur qui peut dorénavant retourner au front du quotidien. Ryder-Jones se retourne sur le passé douloureux, sonde au fond de lui même et y puise un optimisme lucide salvateur. Ce disque regorge de merveilles tel "We Don't Need" avec son début terriblement intimiste à la Sparklehorse jusqu' à surgissent des chœurs d' enfants angéliques. Et que dire du monument "This is Can`t Go" qui va vous emporter très haut tout. Sur ce dernier on ne peut pas ne pas penser aux "Deserter`s Songs" de Mercury Rev ou certains moments des Flaming Lips. A d' autre occasions l' orchestration typiquement britannique suggérera un autre trésor caché de la couronne, Richard Hawley (sur "It's today Rain"). On peut citer encore "Nothing To Be Done" qui voit le retour des chœurs d' enfants. Et quand Ryder-Jones décide de se taire c' est pour faire place à la légende Michael Head déclamant "Ulysse" de James Joyce ("...And The Sea..."). Encore un instant où le temps s' arrête d' autant plus si on connait le passé de Head, mille fois condamné mais renaissant toujours de ses cendres. Parfois Ryder-Jones se dévoile taquin et érudit comme quand il cite The Velvet Underground après avoir débuté "I Know That's Like This" sur un sample de la brésilienne Gal Costa. Il sait calmer le jeu et éviter la surcharge comme sur "If Tomorrow starts without You" ou "I hold Something in my Hand" qui prouvent qu' il n'est pas seulement question d' une simple question d' emballage via la production mais que ses compositions possèdent des bases solides. "Iechyd Da" signifie en gallois "Bonne Santé". Comment ne pas la retrouver ou au moins un morale doublé d' un optimiste dont on a besoin plus que jamais de nos jours. Avec ce disque Bill Ryder-Jones s' inscrit immédiatement dans la grande histoire de la Chamber Pop britannique parmi les trésors déchirants que sont entre autres le "Coles Corner" de Richard Hawley, l' "Apple Venus Vol.1" d' XTC et le "Promenade" de Divine Comedy qui fête ces jours-ci son trentième anniversaire. Sans vraiment rien inventer et en utilisant des bouts de ficelles déjà entendus ailleurs qu' il magnifie, ce qui pourrait sembler être du toupet ou du cynisme mais qui tient bien plus d'un cri du cœur d' érudit respectueux, Ryder-Jones vient simplement de nous offrir un classique . PS : Chroniquer Bill Ryder-Jones m' a mis d' excellente humeur donc voici certains artistes cités.

  • CHUQUIMAMANI-CONDORI aka ELYSIA CRAMPTON, retour tonitruant.

    Disque sorti en catimini à la fin de l' année dernière et qui plus est sous l' un de ses pseudos le moins connu, la dernière oeuvre d' Elysia Chuquimia Crampton est encore un sommet et justifie une fois de plus la vénération quasi obsessionnelle dont jouit l' artiste américaine dans ce blog depuis près de 10 ans. On n' avait plus vraiment de nouvelles d' Elysia Crampton depuis son gigantesque "Orcorara" de 2020 (ici) si ce n'est les comptes rendus des multiples expositions artistiques auxquels elle avait participé (Centre d' Arts Contemporains de Genève, MOMA de New York). L' attente parut longue et on commença à s' inquiéter et spéculer sur le fait que l' artiste d' origine Aymara-Bolivienne née aux états Unis ne cesse de produire de la musique préférant les salles expos et les arts visuels. On hésita même à en parler au passé et commencer à dresser le bilan d' une carrière mirifique à l' influence gigantesque tant on était habitué à son rythme effréné de production (environ un album par an). Pour ceux qui ont loupé les débuts de la grande histoire d' amour qui unit ce blog avec Crampton on vous conseillera d' utiliser son mot clé afin de rattraper le temps perdu mais comme on est gentil on va faire le petit résumé de l' un des personnage les plus marquant de l' avant garde électro. Cette artiste multicarte apparu aux débuts des 10's marqua les esprits dès 2013 avec "The Light That You Gave Me To See You" enregistré sous le pseudo E+E. Avec de faibles moyens tel des échantillonneurs et des synthés ce disque au fortes senteurs d' électro Latine et de Cumbia Digital se révélera au fil des années comme l' une des pierres philosophales de la Deconstructed Club (par là). Disque en avance sur son temps il fut suivi du tout autant essentiel "American Drift" sous l' étiquette Elysia Crampton. C' est réellement avec ce dernier qu' elle acquit une reconnaissance mondiale dans le milieu alternatif. Elle y dévoilait sa fibre d' historienne de la musique et de sa culture au travers de titres abordant l' histoire de la Virginie mêlée à ses origines latines. Au fil des sorties discographiques elle ne cessa de s' interroger sur ses racines Aymara et de nous questionner sur le passé et le présent colonial ainsi que sur le sujet LGBT. La musique de Crampton est restée jusqu' à présent assez difficile à définir mais peut aisément être résumée comme être l' un plus beau mariage de l' avant gardisme électro avec la Folk Sud Américaine. Le présent et le passé. Ses Sound Collage et ses expérimentations ont produit une musique aux forts pouvoirs psychédéliques susceptible parfois de charmer le milieu Indie. Sorti uniquement sur Bandcamp sous le nouveau pseudo de Chuquimamani-Condori ce disque intitulé "DJ E" marque un virage affirmé vers une radicalité artistique encore plus assumée. Dans ses très rares interviews Crampton a souvent déclaté vouloir aller vers une musique "plus moche" parce que sans compromis. Pour le coup c' est réussi mais tout dépend bien sûr ce que l'on entend par "musique moche". Il faut comprendre par "Moche" que la volonté de Crampton est de créer une musique allant à l' encontre de ce que les médias et l' industrie tentent de nous imposer. Soit une musique "agréable", "d' ambiance" (rien à voir avec l' Ambient en tant que genre artistique et plus avec un but "utilitaire"). Une musique suffisamment discrète pour ne pas perturber nos petites vies de consommateurs et votre productivité. Peu de chance de retrouver un des 7 titres de "DJ E" dans une playlist spotify diffusée dans les Open Space des grandes entreprises ou les robinets à clip et les radios. Pour arriver à ses fin Crampton/Chuquimamani-Condori a décidé de ne pas masteriser ses titres. En évitant la compression une fois le titre terminé les contrastes sonores ne sont pas atténués comme nos oreilles de consommateurs y ont été habituées. Le choc peut se révéler assez perturbant et il faut un certain temps d' acclimatation pour pouvoir percer à jour les multi couches sonores qui parfois flirte avec l' atonalité. Par traitement numérique et compression hors mastering elle superpose donc les couches et les samples jusqu' à parvenir à un miraculeux équilibre de la dissonance. Il est très difficile parfois de trouver l' origine stylistique et quels instruments sont utilisés à force d'un immense travail d' hachage et de distorsion même si certains courants musicaux latino-américain sont assez identifiables tel les boliviens Saya, Caporal ou Huañyo. Crampton afin d' expliquer cette superposition dit s' être inspirée d' un rite ancestral Aymara: "le son de nos cérémonies de l'eau, les 40 groupes jouant leurs mélodies en même temps pour créer la cacophonie de la première aurore et l'appel de l'étoile du matin Vénus". L' auditeur se retrouve confronter à un brouillard sonore opaque désorientant amenant à une profusion de sentiments multiples et incontrôlables. Progressivement de cette mélasse hallucinatoire , et si l' auditeur veuille bien s' en donner la peine, filtre une lumière et des couleurs hypnotique susceptible de vous élever pour atteindre une plénitude jubilatoire. Crampton réussit à amener jusqu' à une sorte de catharsis rarement atteinte. Elysia Crampton nous avait manqué au cours de ces 4 dernières années et elle nous revient encore plus passionnante et intègre. Malgré plus de dix de carrière c'est une proposition encore et toujours enrichissante et révolutionnaire que celle de cette artiste.

  • DJ ANDERSON DO PARAÌSO, le côté obscur du Baile Funk.

    L' an dernier, toujours affamé de nouvelles sonorités innovantes, DWTN s' était rué sur la version hallucinatoire et terrifiante du Baile Funk brésilien offerte par DJ K (ici) . A peine remis de ma découverte nommée dorénavant le Bruxeria Sound, le label ougandais Nyege Nyege déjà découvreur de DJ K annonçait en grande pompe une nouvelle recrue issue de la scène Baile Funk brésilienne. Et les plus avertis des observateurs du label nous prédisaient une encore plus grande claque tant la version promise du Baile Funk était totalement différente et originale jusqu' à battre en brèche les idées reçues. Le premier album du petit dernier au sein de l' écurie Nyege vient enfin de sortir et disons-le immédiatement. Les annonces n' étaient pas du buzz pour pas grand chose mais bel et bien le coup de vent annonçant une sacrée tempête. Mais avant de s' attaquer au phénomène il est utile de passer par un petit cour d' histoire sur ce que l' on nomme le Baile Funk histoire aussi corriger quelques petites boulettes vues par ci par là. Déjà une chose à préciser pour les aficionados du Funk américain il n' y en a quasiment plus aucunes traces dans ce que l'on appelle le Baile Funk ou Funk Carioca. Même si les Dj des 70's à l' origine du genre passaient du Funk et de la Soul, devant l' affaiblissement des deux courants dans les 80's, ils se tournèrent vers le Hip Hop et l' électro avec une forte prédilection pour la Miami Bass. Assez vite ils développèrent leur propre version en ajoutant des sonorités provenant des instruments de percussion afro-américains et en remplaçant également l' anglais par le portugais. A forte teneur sociale par ses lyrics le "Funk" remporta un gros succès dans les favelas sous les regards réprobateurs des classes riches et moyennes du pays. La version plus commerciale apparue fut le Funk Melody et bien sûr la Pop Mainstream commença par emprunt à vampiriser le courant. En réaction le "Funk" eut bien sûr sa version plus brutale et gangsta avec le Funk Proibidão. Plus tard un autre sous genre débarqua, le Funk Ostentação. Marqué par le Pop Rap d' alors mais toujours sous forte connotation Gangsta il domina les 10's. Le "Funk" brésilien devenu mouvement de masse parti de Rio (d' où souvent l' appellation Carioca à présent réductrice) se propagea et c' est tout le brésil qui vit les Dj essaimer dans les Baile (fêtes de rue) au cours des années. Dj Anderson Do Paraìso malgré son jeune âge de 27 ans est déjà une légende du Baile Funk. Il a grandi dans la grande Belo Horizonte, grande ville située à l' intérieur des terres et assez éloignée des images d' épinal rattachées à Rio. Ne partageant en commun évidemment avec la cité côtière que les favelas et leurs pauvreté . Ceci expliquera peut être ce qui va suivre. Il débute vers 15 ans en assistant aux Baile (fêtes de rue) du quartier Serrão. A Belo Horizonte il est au cœur pour prendre une part immense à l' une des plus passionnantes évolutions du Baile Funk, le Funk BH. Avec une approche franchement plus minimaliste lui et ses potes vont rendre le Funk plus éthéré et atmosphérique. Le rythme habituellement proche des 150 BPM diminue jusqu' à 90 pour stagner la plus part du temps vers les 130. Les MC délaisse un tant soit peu l' univers Gangsta et mysogine tout en perpétuant la contestation sociale des origines. Ainsi il n' est pas rares de voir la sexualité être abordée d' une manière bien plus progressive avec parfois des lyrics pro LGBT accompagnés d'une vision franchement plus optimiste et combative. Immédiatement à l' écoute de cette claque qu' est "Queridão" l' auditeur va être surpris par les choix sonores en matière de sample opérés par Anderson. Aux côtés du traditionnel outillage électro et l' usage systématique de la réverbération la surprise provient de l'instrumentation classique. Flûtes retravaillées, pianos et cordes en tout genre eux aussi maltraités. Le Baile Funk devient plus solennel jusqu' à être menaçant. Si cette musique demeure toujours très urbaine elle prend une tournure très fantomatique et étrange entre les mains d' Anderson. On ne sait plus très bien si le meilleur endroit pour l' écouter demeure le dancefloor d' une favela ou singulièrement notre fauteuil à la lueur d' une bougie. Avec DJ K on pouvait encore s' imaginer se trémousser en bermuda une bière à la main dans une Baile en pleine période carnavalesque sous l' effet d'une quelconque substance hallucinogène face à une profusion de beat. Chez Anderson c' est l' hiver et à tout instant vous êtes susceptible de frissonner de peur tant il est maître pour délivrer une musique très forte en suspens. Pour cela il joue sans cesse avec le silence. C' est avec une méticulosité infinie et un sens de l' économie louable qu' il va se contenter de peu pour maintenir une pression énorme. La surcharge présente chez la concurrence brésilienne n' a pas de raison d' être du côté de Belo Horizonte. Le phrasé rap ou surtout le chant typiquement brésilien ne jurent en aucunes façons avec cette musique si lugubre. On dit toujours que les contraires s' attirent et ici le mariage est un succès. Ne cherchez pas de disques autant novateurs. Vous n' en trouverez pas ou si peu tant cette musique semble venue de nul part. Si pour certains le Baile Funk peut se révéler être une musique un brin difficile par manque d' habitude ou simplement par éloignement culturel celui-ci par ses prétentions expérimentale exposées avec une facilité déconcertante est susceptible de vous emporter très loin jusqu' à redéfinir toutes nos conceptions et les diktats musicaux contemporain un peu comme le footwork en son temps.

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    Reviews LIZ HARRIS aka GROUPER il y a 42 minutes BILL RYDER-JONES, une merveille Chamber Pop. il y a 1 jour CHUQUIMAMANI-CONDORI aka ELYSIA CRAMPTON, retour tonitruant. il y a 2 jours DJ ANDERSON DO PARAÌSO, le côté obscur du Baile Funk. 15 mars KIM GORDON, quand les boomers n' en sont pas. 28 janv. BEST OF 2023 15 nov. 2022 MOIN, réinvention Post Hardcore 15 nov. 2022 CARLA DAL FORNO, retour magistral 14 oct. 2022 SUEDE, UNE MAGNIFIQUE ÉPINE DANS LE PIED DEPUIS 30 ANS 13 oct. 2022 GIRL BAND aka GILLA BAND, redécouvrir la musique. 11 sept. 2022 SARAH DAVACHI, arrivée au sommet. 1 2 3 4 5

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